Après
de longs mois d’absence, l’équipe de rédaction de fais tes Wallis reprend du service pour le plus grand plaisir de
ses abonnés... Les mecs, ça fait 10 fois qu’ils commencent leur article avec la
même intro !!!
Bon,
alors on reprend :
-
Sophie, tu peux écrire l’article sur la Nouvelle
Zélande
-
Ah non, vas y toi, moi je m’occupe des photos,
-
Je ne peux pas Sophie, j’ai piscine. En plus, je
travaille beaucoup en ce moment. Je commence à 9h00 par la pause café, après on
doit faire un debrief sur jean paul qui a quitté sa femme pour la secrétaire de
la mairie avec tout ça, j’espère au max rentrer vers 13h ce soir. Mais pour qui travaille David ??? la réponse
au prochain numéro
-
Allez s’il te plaît, je ferai le prochain
article
-
Ok, c’est bon je m’en occupe (Ah, bah il est
temps, 20 lignes et toujours pas un mot sur la Nouvelle Zélande, mais qu’est ce
qu’il fait bon sang, allez grouille David)
Alors,
il était une fois Sophie et David en vacances au pays des Kiwis, des All
blacks, des maoris, des voiliers, des parcs nationaux, des otaries et des
kangourous, euh ça non c’est en Allemagne. Ils embarquèrent dans un van peint
par des artistes peintre qui peignent des vans…On était bien dans le cliché, la
Nouvelle Zélande entre jeun’s avec un van tagué, il manquait plus que les dread
locks, les yukulélés (non ça on avait), l’herbe (ah ba, ça aussi on
avait !!! humour je précise). Bon, pour résumer on était fin prêt pour
arpenter les collines verdoyantes et avaler les kilomètres de ce beau pays qu’est
la Nouvelle Zélande. A nous, les plages paradisiaques de sable doré du
Northland, les fumerolles, les geysers et les eaux chaudes de Rotorua (centre
de l’île du nord). Mais, il faut avouer que notre coup de cœur était plutôt
pour l’île du Sud. Les kiwis ont vraiment des paysages sublimes à perte
d’horizons et totalement préservés. On passe des criques découpées du littoral,
au désert de roche en passant par les hauts plateaux volcaniques où les neiges
éternelles renforcent l’idée d’une nature sauvage et indomptée…Oh dame nature, qui
es tu, toi qui recèle dans tes ruisseaux les vérités cachées d’un monde fuyant
la main de l’homme. Après la description des attraits de la Nouvelle Zélande,
intéressons nous maintenant à la partie immergée de l’iceberg (gnark, gnark,
gnark), ma partie préférée !!!
Les villes : On peut pas vraiment parler de ville mais plutôt de décor de film Western mêlé à une ambiance de films de « mort vivant ». Arrêt sur image : une route principale coupées par des routes secondaires perpendiculaires, des boutiques à moitié fermés dans lesquels se tiennent les patrons aux aguets, prêts à déguener leur fusil à pompe si un gars trop louche et livide rentre en titubant dans leur échope en gromelant arrrrrhhh, arrrrrhhhh (style mort vivant), des ballots de paille qui balayent les rues, des règlements de compte au pistolet entre deux cow boys au milieu de la Main Street, des maisons en bois désuées, quelques fermiers qui parlent un anglais du fin fond du Kansas et qui pourraient bien être les morts vivants tant redoutés, bienvenue à STRANGE TOWN.
Les villes : On peut pas vraiment parler de ville mais plutôt de décor de film Western mêlé à une ambiance de films de « mort vivant ». Arrêt sur image : une route principale coupées par des routes secondaires perpendiculaires, des boutiques à moitié fermés dans lesquels se tiennent les patrons aux aguets, prêts à déguener leur fusil à pompe si un gars trop louche et livide rentre en titubant dans leur échope en gromelant arrrrrhhh, arrrrrhhhh (style mort vivant), des ballots de paille qui balayent les rues, des règlements de compte au pistolet entre deux cow boys au milieu de la Main Street, des maisons en bois désuées, quelques fermiers qui parlent un anglais du fin fond du Kansas et qui pourraient bien être les morts vivants tant redoutés, bienvenue à STRANGE TOWN.
Ça
c’est la première partie, parce qu’il me reste à vous parler de la gestion de
l’environnement et de la nature en Nouvelle Zélande. Loin de moi, l’idée de
lancer un débat sur la gestion durable de notre planète, mais comment peut on
considérer que l’on vie en osmose avec dame nature, quand on nous interdit de
quitter le chemin principal aménagé avec des petits gravillons et des terre
pleins à 2000 mètres d’altitude en montagne, alors que la nature sauvage immense
est autour de nous. Tu te sens dans un éco musée où encore un jardin public
mais pas du tout dans la nature sauvage. Tu en viens même à avoir peur de te
faire gronder par le méchant petit ranger (genre de super flic de
l’environnement) si tu sors du chemin pour pisser derrière un arbre. En gros,
tu regardes la nature sauvage à côté de toi qui est mise sous cloche mais tu ne
vis pas avec. Alors que trouver des solutions pour permettre à l’homme de jouir
et de profiter de la nature tout en la respectant me semble être un enjeu beaucoup
plus excitant et permettant de trouver des solutions durables, plutôt que de tout
cloisonner, ce qui est contre nature car tout est interconnecté dans notre
monde. Voici la différence entre la vision anglo saxone et latine de la gestion
de l’environnement. Eh vous de quel bord êtes vous ?
Allez images !!!